Au service des organismes publics et parapublics
Dans un pays comme le Canada, le gouvernement fédéral, les provinces, les villes et leurs organismes et sociétés doivent pouvoir compter sur des traducteurs qui maîtrisent parfaitement les deux langues officielles et qui comprennent les exigences de communication particulières du secteur public.
Les traducteurs généralistes et techniques de CTC Traduction possèdent les compétences linguistiques et communicationnelles nécessaires pour rendre avec justesse l’esprit et la lettre des documents officiels des organismes publics et parapublics : écoles, commissions scolaires, municipalités, MRC, régies, sociétés d’État, agences fédérales et provinciales…
« Communiquer de façon claire et précise avec les citoyens est un art que nous maîtrisons. »
Pour votre ministère, votre société publique ou votre ville, nos compétences langagières éprouvées, notre riche expérience et notre connaissance du fonctionnement et des exigences des gouvernements sont une promesse de satisfaction.
« Les organismes publics recourent à nos services parce que nous connaissons bien leur RÉALITÉ et leurs EXIGENCES, et parce que nous avons les RESSOURCES pour répondre à leurs besoins. »
Depuis sa fondation, notre agence de traduction a traduit plusieurs millions de mots de l’anglais au français et du français à l’anglais pour une multitude d’organismes publics et parapublics, dont les suivants :
- Association des centres jeunesse du Québec (ACJQ)
- Centre de liaison sur l’intervention et la prévention psychosociales (CLIPP)
- Centre de Santé Tulattavik de l’Ungava
- Commission scolaire du littoral
- École de technologie supérieure (ÉTS, Québec)
- École nationale d’administration publique (ÉNAP)
- Environnement Canada
- Gendarmerie royale du Canada
- Groupe de recherche sur l’inadaptation psychosociale chez l’enfant (GRIP, Québec)
- Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (autrefois le ministère des Relations avec les citoyens et de l’Immigration)
- Protecteur du citoyen
- Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL)
- Société des loteries et des jeux de l’Ontario (OLG)
- UNESCO
Éthique de travail et compétences particulières recherchées dans le secteur public
- Nous sommes intègres et transparents.
- Nous partageons les exigences de rigueur et d’exactitude des organismes publics.
- Nous connaissons les règles et les rouages de ces organismes, et nous comprenons le fait que comme entités publiques, ils suivent des normes rédactionnelles et des références communicationnelles qui peuvent différer de celles de l’entreprise privée.
- Nous connaissons les normes stylistiques, lexicographiques, typographiques et bibliographiques qu’observent les organismes publics et parapublics, tout comme leurs cahiers des normes graphiques.
Soigner le contenu autant que la forme
- Un des traits distinctifs de notre équipe est que plusieurs de ses traducteurs sont aussi des rédacteurs professionnels. Or, de bonnes aptitudes rédactionnelles ajoutent beaucoup de fluidité et de lustre à une traduction. Cela rehausse son coefficient de lisibilité, un facteur qui a son importance dans les textes discursifs, notamment.
- Nombre de nos traducteurs sont aussi des réviseurs chevronnés, ce qui garantit une qualité supérieure dès le premier jet, et qui accélère sensiblement la cadence de production du début à la fin des travaux.
- Les professionnels aguerris de notre firme de traduction se jouent des pièges qui peuvent alourdir et dénaturer la langue, et dans lesquels tombent de nombreux langagiers : calques, anglicismes, gallicismes, solécismes et autres barbarismes.
- Passionnée de terminologie, notre équipe effectue la recherche nécessaire pour trouver le mot juste et adapter chaque formule à chaque public cible.
- Nous constituons nos propres lexiques et nous suivons et enrichissons ceux de nos clients.
- Chaque fois que la situation l’exige, nous annotons nos traductions pour que nos clients puissent aisément :
- constater les répétitions inutiles, les pléonasmes, les bris de construction ou les contradictions que peut contenir le document de départ ;
- vérifier les sources que nous avons consultées;
- interroger l’auteur ou lui demander de clarifier les passages nébuleux.