Le consommateur est sans cesse plus exigeant. Ceci est vrai dans les deux langues officielles du Canada et dans toutes les autres langues du monde !
La rubrique Traducteurs, terminologues et interprètes du site Web de Service Canada brosse un portrait relativement complet de l’industrie de la traduction au Canada.
On y trouve un constat sans appel, qui s’applique aussi bien aux régions francophones qu’anglophones du pays :
« Les consommateurs étant de plus en plus exigeants, les entreprises doivent [de plus] en plus adapter la traduction aux particularités locales. Ainsi, le consommateur ne sentira pas qu’il consulte un document traduit. »
Il faudrait donc éviter qu’un document transpire la traduction. Pourquoi cette conclusion ?
Un texte ne devrait jamais « sentir » la traduction
Lorsque les lecteurs perçoivent des relents de l’autre langue sur une étiquette de produit ou dans un mode d’emploi bilingue, pour citer un exemple courant, ils y verront :
- une marque de paresse ;
- une économie de moyens gênante ;
- un manque de respect.
Dans certains cas, le consommateur sera carrément insulté.
Quels que soient les supports…
Au Canada, les expressions anglaises doivent être transposées, adaptées et même enrichies dans leur équivalent français. De même, au Canada anglais, les tournures québécoises doivent être transposées dans leur meilleur équivalent anglocanadien.
La culture générale et la sensibilité linguistique sont d’importants vecteurs de qualité dans le travail du traducteur. Voilà une autre bonne raison de confier vos traductions français-anglais et anglais-français à CTC.
Des traductions « invisibles »
Qu’ils soient anglophones ou francophones, nos traducteurs ont tous pour langue cible — ou langue d’arrivée — leur langue maternelle. Dans leurs textes, ils rendent parfaitement, de manière précise et naturelle, le contenu particulier de la langue de départ, si bien que la traduction devient indétectable. Comme plusieurs de nos traducteurs sont souvent aussi des rédacteurs-réviseurs aguerris, leurs textes sont d’une clarté et d’une fluidité exemplaires, ce qui contribue aussi à « effacer » toute trace de traduction.
« L’invisibilité de la traduction : une marque de commerce de CTC. »
La langue : une source d’attachement
On l’oublie, mais une langue ne se résume à son lexique, à ses mots. Toutes les langues ont leur esprit, leur génie. Stendhal l’avait bien compris, lui pour qui « le premier instrument du génie d’un peuple, c’est sa langue ».
Le génie de la langue, si distinctif, et pourtant si difficile à circonscrire, s’exprime notamment dans ses idiomes, à l’oral comme à l’écrit. Particuliers à chaque langue, les idiomes sont enchevêtrés dans la culture : ils ne font qu’un avec elle.
« La langue est le véhicule de la culture, son premier moyen d’expression. »
Martin Heidegger écrivait correctement que « la langue est la maison de l’être ». En d’autres termes, tout ce qui est, dans l’univers des hommes, « habite » la langue. Les choses s’incarnent dans la langue, elles vivent en elle.
Dans cette optique, où la société est un objet comme un autre, la langue est à maints égards la « maison » de la société et, par voie de conséquence, de la culture. C’est d’abord dans la langue et par la langue que vivent et s’expriment les sociétés et les cultures. Or, la langue est aussi un bien qui appartient à ses locuteurs, qui souvent la chérissent comme marqueur de leur appartenance sociale. Dans un excellent article paru dans Le Devoir en 2010, Pourquoi apprendre une langue ?, Martin Pâquet et Marcel Martel écrivaient avec justesse que :
« […] la langue constitue le moyen par lequel nous formons une communauté. Elle est un marqueur identitaire grâce auquel les individus manifestent à soi et aux autres, leurs caractéristiques propres et leur appartenance sociale. Parler français ou anglais n’est pas seulement échanger entre des individus épars. C’est partager aussi une culture commune ou, comme le signale le sociologue Joseph Yvon Thériault, faire société. »
La langue, comme bien appartenant à ses locuteurs, est pour eux une source d’attachement.
Cette réalité a son importance parce que, dans l’univers économique — celui de l’entreprise —, ce sont les sentiments qui motivent les achats. Comment expliquer autrement que les entreprises, pour vendre, paient des fortunes aux agences de publicité pour qu’elles formulent des messages qui feront vibrer les cordes sensibles du consommateur, qui exciteront ses sentiments ? C’est que les sentiments sont biens souvent le premier motif de nos achats.
La traduction comme outil de marketing
La conclusion de ce qui précède est que votre entreprise doit éviter de décevoir le consommateur en égratignant sa langue — son « bien » — dans une traduction bâclée. Comme la langue « appartient » au consommateur, il faut la traiter avec respect.
Pour cela, les entreprises doivent soigner leurs communications dans la langue de départ, bien sûr, mais aussi dans la langue d’arrivée.
- Au Canada c’est le plus souvent entre le français et l’anglais que cela se joue.
- Par leur qualité, les traductions anglais-français et français-anglais de CTC respectent le consommateur et sa langue, préservant ainsi sa confiance.
« Une traduction digne de ce nom peut être un puissant outil de marketing. Faites un choix rentable : confiez à CTC la traduction de vos documents français et anglais. »
Le rapport qualité-prix, un argument de poids
CTC propose un excellent rapport qualité-prix pour ses services de traduction français-anglais et anglais-français. Vous avez déjà un fournisseur de traduction pour ces langues ? Posez-vous ces questions :
- Ce fournisseur vous en donne-t-il vraiment pour votre argent ?
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Pour en avoir le cœur net, faites-nous évaluer les textes de votre fournisseur. Nous le ferons sans frais.